voilà enfin les dessins de concarneau (où j'étais, je le rapelle pour voir marion, la mer, profiter du biens qu'elles me font, dessiner, être seule, loin de Strasbourg et de tout ce qu'il y a là-bas, et "faire des marches sur le littoral" (hum))

j'ai eu le droit à pas mal de crachin breton et autre plaisanterie météorologique (avec le temps je commence à parler comme mon père) mais heuresement j'ai pu prolonger mon séjour, même si au fond la mer sous la pluie c'est pas si mal non plus, sauf pour les dessins et la photo.

dans le petit sentier que j'empruntais tous les jours je croisais toujours deux quarantenaire qui allaient se baigner, sacré bleu, y en a qu'on pas peur de la tempête hé!

Sue Darling, "the first one" (haha) projet! je m'améliore de beaucoup (nécessaire) et je m'y mets !

depuis mon lit je peux voir l'arrière d'un de mes bouquins, il y a une citation génial sur le surréalisme, je voulais la mettre ici avec ce dessin, mais j'ai la flemme de monter la chercher, c'est plus ou moins ca: "l'acte le plus surréaliste consiste a descendre dans la rue un pistolet à la main et de tirer sur tout ce qui est autour de soi"

 great new ! je m'en vais a concarneau mardi matin! j'ai deja trouvé mon billet, a moi marion, la mer, les balades sur la cote, les grands moments de solitude dans les bars a boire du chouchen, les heures de croquis dans la rue, sur le port, ouhouuuh

 bon heu la j'ai la race de travail, je dois rendre trois fiches lectures de 4 pages chaqu'une pour demain, je n'ai fait que lire les livres en prenant des notes pour l'instant, merde, bon heu j'y cours

punaise, a nous france gall et son "sacré charlemagnheu" (haha), a nous les rollings stones, les doors, Lou Reed, et tout leurs amis, convié dans ma chambre, tout ces prochains soirs et jusqu'à longtemps. il y a tellement de choses à découvrir ...

(un peu désolée de mettre ce dessin, beurp, disons que c'est un pretexte pour partager ma joie :)   ) 

...

olvide como era importante de vivir cargada de sentimientos fuertes, tengo el impression que en Ecuador me llenaba de tantas cosas (habia tanto que llenarse, tantas cosas nuevas), que no tenia tiempo para vivir momientos dolorosos. Es muy bien asi, me siento con mas vida